Le gars il est arrivé là, les mains dans les poches (vides, bien sûr), en 1998 au poste « chefaillon » de DRH. Allez en gros il devait émarger à 6 / 7.000 €/mensuel, 9.000 avec les primes (sans les stocks) !
Puis son ascension fut fulgurante, les évènements se précipitèrent, et le voilà PDG en mars 2002 !
La pression des fonds de pension américains s’exerçait tout à coup depuis l’intérieur de l’entreprise et non plus de l’extérieur... Création d’une holding, politiques salariale et sociale en pur déclin, rognages tous azimuts : primes opérationnels, sous effectifs..., sans parler des (…)